Le partage des responsabilites politiques et administratives et la gestion integree des zones cotieres
Sur les questions posées il y a du nouveau depuis le précédent colloque de Boulogne sur Mer, il y a plus de deux ans. On doit l'examiner au regard des principaux événements suivants, divers, mais convergents, principalement : 1) la réorganisation administrative des services de l'État, 2) le « Grenelle de l'environnement » (conférence nationale), et les deux lois qui en découlent, Grenelle 1 et Grenelle 2., 3) le « Grenelle de la mer », 4) la signature à Madrid le 21 janvier 2008 d'un protocole sur la GIZC, dans le cadre de la réunion des paries contractantes de la Convention de Barcelone pour la protection des milieux marins et du littoral de Méditerranée contre la pollution. Ce dernier protocole étant particulièrement exemplaire de la nouvelle politique française et européenne. Toute cette actualité nationale et internationale a donné l'occasion de nombreux colloques et publications diverses concernant toutes les disciplines, formant l'opinion des experts et des décideurs, et contribuant au difficile avancement des politiques et du droit. L'étude du niveau national nous retiendra essentiellement : L'État reste la charnière des deux niveaux de gouvernance, national et international. Il continue à régler le jeu des compétences internes, et il est appelé à être l'acteur essentiel de la gestion internationale des zones côtières. Mais il s'associe de plus en plus, pour des raisons d'efficience, voire de bonne économie, le jeu de nombreux autres acteurs dont les projets sont essentiels à la mise en uvre de sa stratégie.
Auteurs du document :
Mesnard A. H.
Obtenir le document :
vertigo
Diffuseur des métadonnées :
Office International de l'Eau
Mots clés :
COLLECTIVITE LOCALE, DEVELOPPEMENT DURABLE, GESTION INTEGREE, LITTORAL, POLICE DE L'EAU, gestion integree des zones cotieres, gouvernance, politique publique
Un permalien est l'URL initiale d'un article ou d'une page, conçu pour refèrer un élément d'information et rester inchangé de façon permanente.Permalien :