UTILISATION DU MODÈLE ÉCREVISSE COMME ESPÈCE BIOINDICATRICE DE POLLUTION. APPLICATION À L’ÉTUDE DES TRANSFERTS TROPHIQUES DU CADMIUM

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Producteur
Contributeur(s) EDP Sciences
Identifiant documentaire 11-2002067
Identifiant OAI oai:edpsciences.org:dkey/10.1051/kmae:2002067
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Auteur(s): O. SIMON,A. BOUDOU
Mots clés trace metals bioaccumulation biomarker trophic transfer cadmium écotoxicologie espèce bioindicatrice voie trophique cadmium
Date de publication 01/05/2008
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Langue fr
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Source https://doi.org/10.1051/kmae:2002067
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La bioaccumulation des métaux par les organismes aquatiques est directement liée aux modalités d’exposition : contamination directe via le milieu ou contamination trophique via l’ingestion de proies contaminées. Pour appréhender les perturbations des écosystèmes, il apparaît important de déterminer des espèces « bioindicatrices » et de mesurer la part respective de ces deux voies d’exposition. Les travaux présentés concernent le transfert trophique du cadmium entre une proie, le bivalve benthique Corbicula fluminea, et un de ses prédateurs, l’écrevisse Astacus astacus. Afin d’insister sur l’importance des modalités de prédation de ce crustacé, nous avons réalisé 2 approches expérimentales complémentaires. La première concerne la consommation « naturelle » de proies contaminées pendant 30 jours d’exposition, la seconde consiste à introduire directement un bol alimentaire de proies contaminées dans l’estomac des écrevisses par une technique de gavage. Les résultats montrent une différence importante entre ces deux approches expérimentales.

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