Ce rapport s’inscrivait dans le cadre d’un regain d’intérêt pour la digestion des boues d’épuration. En effet, les valorisations possibles duetnbsp; biogaz produit sontetnbsp; deetnbsp; plusetnbsp; enetnbsp; plus encouragées dans la dynamique écologique actuelle.etnbsp; Laetnbsp; dernièreetnbsp; évolutionetnbsp; importante a eu lieu en 2014, quand le biométhane produit à partir de boues d’épuration a été autorisé à être injecté dans leetnbsp; réseau. Il semblait donc intéressant deetnbsp; réaliser unetnbsp; état des lieux des pratiques existantes afin d’aider les collectivités désirant implanter une unité de digestion sur leur site.
La première partie a apporté des éléments bibliographiques sur tous les paramètres liésaux différentes étapes en entrée, en sortie et au cœur duprocédé. Ces éléments ont permis de comprendre les résultats présentés dans la deuxième partie qui analysait les retours d’expérience obtenus après l’envoi d’un questionnaire techniques aux exploitants de station d’épuration.
Les pratiques majoritaires ont pu ainsi être mises en évidence et les principaux problèmes rencontrés ont été identifiés. La dernière sectionetnbsp; aetnbsp; enfinetnbsp; permis de synthétiser les principales observations réalisées.
Laetnbsp; digestion anaérobie des boues de station d’épuration tend effectivement à se développer avec un nombre croissant de digesteurs en projet.etnbsp; Lesetnbsp; voiesetnbsp; deetnbsp; valorisationetnbsp; du biogaz ne concernent désormais plus uniquement le thermique et se diversifient avec la cogénération et l’injection dans le réseau. Il est certain que cette technique occupe une place importante dans l’avenir des stations d’épurations qui seront bientôt conçues pour valoriser au maximum nos déchets en plus de les traiter.