Document généré le 05/11/2025 depuis l'adresse: https://www.documentation.eauetbiodiversite.fr/fr/notice/vitesse-de-decomposition-et-evolution-minerale-des-litieres-sous-climat-atlantique-ii-les-principales-especes-des-landes-de-bretagne-france
Vitesse de décomposition et évolution minérale des litières sous climat atlantique. II. Les principales espèces des landes de Bretagne (France)
Titre alternatif
Producteur
Contributeur(s)
Identifiant documentaire
6-44215
Identifiant OAI
oai:reseau-cen-doc.org:44215
Notice source
https://reseau-cen-doc.org/doc/SYRACUSE/44215
Auteur(s):
GLOAGUEN, Jean-Claude,FORGEARD, F.,TOUFFET, Jean
Mots clés
Bretagne
biomasse
végétation
landes sèches
Date de publication
01/01/1980
Date de création
Date de modification
Date d'acceptation du document
Date de dépôt légal
Langue
fra
Thème
Type de ressource
Article
Source
Droits de réutilisation
Région
Bretagne
Département
Commune
Description
L’évolution pondérale et l’évolution minérale des litières sous climat atlantique ont été suivies dans des sachets en filets de nylon à mailles de 0,3 mm pour les principales espèces des landes bretonnes : Ulex europaeus, U. minor et U. gallii, Erica cinerea, E. ciliaris et E. tetralix, Calluna vulgaris, Cladonia impexa et Festuca ovina trachyphylla. Les facteurs écologiques stationnes semblent jouer le rôle primordial dans les processus de décomposition des litières. Les litières à vitesse de décomposition les plus lentes se rencontrent sur landes sèches à pente faible et à ruissellement trés peu intense, puis viennent les litières placées soit en milieu mésophile, soit en milieu plus riche. Enfin, celles qui se décomposent le plus rapidement d’observent sur terrain à forte pente et à ruissellement important. En lande sèche à faible ruissellement les Ajoncs se décomposent plus lentement que les Bruyères alors qu’en lande mésophile ou en lande à forte pente, ce phénomène tend à s’inverser.
Les éléments peuvent êre classés en trois groupes : ceux qui disparaissent plus rapidement que la matière organique (K et Na), ceux qui disparaissent plus lentement (N, P, Ca, Fe et Mn, avec quelques rares exceptions pour les trois derniers) et enfin, Mg qui approximativement évolue parallèlement à la matière organique, avec une tendance à disparaître plus rapidement. (résumé original de l’article)
Accès aux documents
0
Consultations
0
Téléchargements