Le Gecko tokay Gekko gecko, Espèce Exotique Envahissante des Antilles Françaises. Synthèse bibliographique et propositions d'actions

Titre alternatif
Producteur
Contributeur(s) OFB
Identifiant documentaire 5-DOC00083947
Identifiant OAI oai:ofb-oai.fr:DOC00083947
Auteur(s): LOPEZ CARMONA S.,COQUELET P.,RATEAU F.,DREAL MARTINIQUE
Mots clés DISTRIBUTION DENOMBREMENT GESTION POPULATION COLONISATION TECHNIQUE ET METHODE CAPTURE COMPETITION INTERSPECIFIQUE GEKKO GECKO ESPECE EXOTIQUE ENVAHISSANTE REGULATION ARTIFICIELLE DE POPULATION BIBLIOGRAPHIE INVASION BIOLOGIQUE TRANSLOCATION OUTRE-MER
Date de publication 01/01/2021
Date de création
Date de modification
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Date de dépôt légal
Langue fre
Thème
Type de ressource Document
Source 42 p.
Droits de réutilisation Accès libre

Région

Guadeloupe,Martinique

Département

Commune

Description
Le Gecko tokay est un reptile originaire d'Asie du sud-est qui a été introduit en Martinique dans les années 1970 et en Guadeloupe dans les années 2000. Il s'est naturalisé sur ces deux îles et étend progressivement son aire de répartition. Aucune observation n'a été rapportée à ce jour sur les îles de Saint-martin et Saint-Barthélémy. sa capacité à coloniser des milieux naturels laisse redouter qu'il ait un impact sur les communautés d'espèces natives. cependant, à ce jour, aucune étude de ses interactions avec la faune et la flore indigène des Antilles françaises ou des autres territoires où il a été introduit (Bélize, Curaçao, Floride, ...) n'a été réalisée. Le présent document établi une synthèse des connaissances relatives au gecko tokay, liste des méthodes d'inventaire et de capture potentiellement utilisables sur cette espèce et propose des mesures à mettre en oeuvre afin de limiter les conséquences de cette invasion biologique. Il n'existe à ce jour pas de moyen technique permettant d'éradiquer cette espèce sur les terres principales où elle a été introduite. La plupart des actions préconisées dans ce document visent à éviter la dispersion vers les îles, dépendances et îlets où elle n'est pas présente actuellement. Ces mesures contribuent également à limiter le risque de translocation de la plupart des autres espèces exotiques envahissantes. Des opérations d'amélioration de la connaissance de la répartition de l'espèce et son impact sur la biodiversité native des Antilles françaises sont également proposées.

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