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COQUENPATH - Rôle de l'environnement marin (en particulier des coquillages) sur la sélection de souches humaines ou animales de norovirus pathogènes pour l'homme
Titre alternatif
Producteur
Contributeur(s)
Identifiant documentaire
9-15550
Identifiant OAI
oai:archimer.ifremer.fr:15550
Auteur(s):
Pommepuy, Monique,Le Guyader, F.s,Le Pendu, Jacques,Poncet, D,Thebault, Anne,Le Saux, Jean-claude
Mots clés
Date de publication
01/07/2010
Date de création
Date de modification
Date d'acceptation du document
Date de dépôt légal
Langue
fre
Thème
Type de ressource
Source
Droits de réutilisation
2010 Ifremer
Région
Département
Commune
Description
L'objectif général du projet est de comprendre le rôle du milieu marin, et en particulier des coquillages, sur la sélection des souches de norovirus humaines ou animales et sur leur pathogénicité potentielle pour l'homme.
Des évènements récents ont montré l 'importance du potentiel zoonotique des virus, par voie directe, mais aussi au travers d'aliments potentiellement infectés ou contaminés [Yazaki et al., 2003] 1; [Stavrinides et Guttman, 2004]. L'analyse de l'évolution des Caliciviridae montre ainsi que le virus de l'exanthème vésiculeux du porc (VESV) serait apparu via l'alimentation contenant des farines de poissons jnfectés [Etherington et al. , 2006]. L'émergence de pathogènes au travers d'un passage inter - espèce correspond à des évènements rares, mais un très haut taux de mutation augmente leur probabilité d' occurrence, comme en témoigne la sur - représentation des virus à ARN simple brin parmi les exemples connus de saut d'espèce Woolhouse , 2005 #2617}. Bien que les mécanismes moléculaires nécessaires au franchissement de la barrière d'espèce soient très divers, la présence de récepteurs cellulaires compatibles représente une étape cruciale et plusieurs exemples de franchissement de la barrière d'espèce ont montré le rôle déterminant de mutations permettant aux virus de reconnaitre leur récepteur sur les cellules de la nouvelle espèce cible. Dans ces conditions, le risque de transmission interespèce sera d'autant plus élevé que les récepteurs sont phylogénétiquement conservés [Woolhouse et al., 2002].
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