EMPREINTE METALLIQUE SUR LA TETE DU BASSIN VERSANT DE L'ARIEGE : FOCUS SUR L'ETUDE DE SUIVI DES TENEURS EN ARSENIC EN HAUTE-ARIEGE
Des analyses menées sur des mousses aquatiques en 2018 et 2019 mettent en évidence des teneurs variables et notables en arsenic sur le Canal de Verdier, en Haute Ariège (France). Une étude menée entre la DREAL Occitanie, le laboratoire Pereine-eau de l'Université de Limoges et l'Agence de l'Eau Adour-Garonne, a permis d'objectiver les résultats obtenus tout en tentant de faire la part des choses. D'une part, entre les apports naturels liés au fond géochimique riche en arsenic, d'autre part d'une pollution potentielle pouvant provenir de la station d'épuration du Pas de la Case et enfin des apports venant de l'ancienne mine de fer de Puymorens. L'étude menée sur une année hydrologique se caractérise par deux méthodes d'échantillonnage complémentaires. D'une part, via la méthode classique de prélèvements d'échantillons d'eau et d'autre part, via la méthode qui utilise les échantillonneurs passifs intégratifs (EIP). Ces deux méthodes combinées permettent d'affiner la quantification d'un élément ubiquiste et mobile comme l'arsenic dans l'eau. Matériels et méthodes utilisés. Discussion sur les premiers résultats. Conclusions et perspectives.
Auteurs du document :
PEREZ SALVA I, ENSAT, UPS, AEAG
Diffuseur des métadonnées :
Agence de l'Eau Adour Garonne
Mots clés :
ARSENIC, POLLUTION DE L EAU, PRELEVEMENT D EAU, ANALYSE, METAUX LOURDS, DIRECTIVE CADRE EAU, BRYOPHYTE, ECHANTILLONNAGE, POLLUTION METALLIQUE, GEOCHIMIE, ECHANTILLONNEUR PASSIF
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