Produire de l’énergie, récupérer les éléments intéressants dans les eaux, valoriser les boues, réutiliser l’eau, éliminer les micropolluants : la plupart des fonctions des stations d’épuration du futur sont d’ores et déjà réalisables en aménageant les installations actuelles. Les techniques sont là, le changement est en marche. Mais il pourrait être bien plus rapide sans certains freins réglementaires propres à la France...
Enfin Outre les techniques d’ores et déjà disponibles,etnbsp; lesetnbsp; grandsetnbsp; opérateurs,etnbsp; seulsetnbsp; ouetnbsp; accompagnésetnbsp; paretnbsp; desetnbsp; structuresetnbsp; deetnbsp; recherche,etnbsp; développentetnbsp; etetnbsp; testent,etnbsp; enetnbsp; particulieretnbsp; duetnbsp; pointetnbsp; deetnbsp; vueetnbsp; économique,etnbsp; desetnbsp; solutionsetnbsp; quietnbsp; devraientetnbsp; apparaîtreetnbsp; dansetnbsp; lesetnbsp; toutesetnbsp; prochainesetnbsp; années. Parmi les domaines concernés, le traitement des boues en amont de la méthanisation (projet Capture d’Irstea, Insa, Grand Lyon, Saur et agence de l’eau RMC),etnbsp; laetnbsp; récupérationetnbsp; duetnbsp; phosphoreetnbsp; (Irstea) ou de l’azote (Saur), la co-mé-thanisation (projet Cometha du SIAAP etetnbsp; duetnbsp; Syctometnbsp; Paris),etnbsp; laetnbsp; méthanisationetnbsp; (Suez/Insa Toulouse), la production de biochar (Suez), la gestion centralisée des STEP (Veolia)...